On ne peut pas parler de sport sans évoquer notre confrère José Blézès, l’un des plus grands journalistes sportifs de chez nous. Avant de déambuler dans les rues de Cayenne avec la flamme, il a répondu à notre interview des porteurs de la flamme.
Présentez vous en quelques mots.
Je suis José Blézès, journaliste sportif et animateur depuis plus de 50 ans.
Comment avez-vous été sélectionné pour devenir porteur de la flamme olympique ?
Ce sont mes enfants, qui sont en métropole, qui m’ont appelé pour me dire que j’allais porter la flamme. Mon fils m’a envoyé une photo avec des noms, et le mien y figurait. C’est la mairie de Cayenne qui est derrière tout ça, et je tiens encore à les remercier pour cela.
Quelle a été votre préparation pour l’événement ?
Je me préparais à couvrir l’événement en tant que journaliste et à suivre le même parcours que la flamme depuis Camopi. Là, tous mes plans ont changé. Physiquement, je suis prêt. Je suis bien entouré et je me suis un peu entraîné. J’ai un petit vélo chez moi… Je déplore juste le fait que les informations aient mis énormément de temps à remonter.
Que représentent pour vous les JO, et plus particulièrement cette opportunité de porter la flamme olympique ?
Les JO représentent quelque chose de très important pour ceux qui font du sport. En tant que journaliste, j’ai eu la chance d’en couvrir. C’est un rêve qui se réalise ! J’aime tellement mon métier qu’au début, j’étais un peu perturbé de ne pas couvrir l’événement en tant que journaliste. Maintenant ,je suis excité et j’ai hâte de tenir la flamme.