Depuis une dizaine de jours, les élèves de Saint-Georges de l’Oyapock et d’Oiapoque (Brésil) travaillent ensemble pour mettre en avant les défis que connaissent les deux rives, liés au rejet des déchets dans l’eau.
Menés par Bio-plateaux, les élèves de Saint-Georges de l’Oyapock sont actuellement de l’autre côté de la frontière, à Oiapoque. Le projet a débuté sur les rives françaises à l’occasion de la journée mondiale de l’eau, le 22 mars dernier.
Pendant trois jours, ils vont arpenter les rives du fleuve Oyapock pour se sensibiliser à la biodiversité et procéder à un mayouri géant.
Les élèves de primaire, équipés de gants, ont pu collecter des échantillons de végétaux pour des observations microscopiques en classe, à l’aide d’un accompagnement scientifique.
Transmettre aux nouvelles générations
Cette deuxième partie se poursuit jusqu’à ce jeudi 28 mars. Au total, ce sont entre 60 et 70 élèves réunis pour lutter contre la pollution du fleuve. Ce type d’action pourrait, un jour, exister sur le Maroni. Et Patrick Lecante, président du Comité de l’eau et de la biodiversité de Guyane, y travaille activement.
D’ailleurs, ces actions tombent à pic avec les annonces des présidents Luiz Inácio Lula da Silva et Emmanuel Macron concernant l’Amazonie. Patrick Lecante a réagi ce midi (27 mars) dans le Mo News Infos + .
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