Une septuagénaire meurt pendant un cambriolage violent à Kourou

Les faits se sont produits hier soir et ont conduit à un drame. Une dame de 74 ans est morte hier soir après que son domicile au quartier des Roches, eu été cambriolé par un homme, âgé de 27 ans. La septuagénaire a pris peur alors que l'homme qui présenterait des problèmes psychologiques à vérifier selon les éléments fournis par le parquet, frappait contre les murs et était particulièrement agité et agressif. La dame a alors fuit chez sa voisine et s'est là qu'elle est morte après peut-être avoir fait une "fausse route" puisqu'elle était en train de manger au moment des faits.

Par : Samir MATHIEU

Publié le : 23 février 2022

Les faits se sont produits hier soir et ont conduit à un drame. Une dame de 74 ans est morte hier soir après que son domicile au quartier des Roches, eu été cambriolé par un homme, âgé de 27 ans. La septuagénaire a pris peur alors que l’homme qui présenterait des problèmes psychologiques à vérifier selon les éléments fournis par le parquet, frappait contre les murs et était particulièrement agité et agressif. La dame a alors fuit chez sa voisine et s’est là qu’elle est morte après peut-être avoir fait une « fausse route » puisqu’elle était en train de manger au moment des faits.

Le jeune kouroucien, domicilié à deux rues de là, a été arrêté peu après par les gendarmes. Une interpellation qui s’est faite non sans peine puisqu’un gendarme du Psig (Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie) basé à Kourou a été blessé alors que le suspect se rebellait. Le suspect est connu des services de gendarmerie. Il a été placé en garde à vue. L’enquête ouverte par le parquet de Cayenne a été confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Kourou. « Sur un plan technique, de nombreuses investigations restent à faire » indique ce mercredi le procureur de la République Samuel Finielz qui précise qu’aucune trace de coups n’a été constaté sur le corps de la victime. « On n’a pas de violences directes sur la victime même si on peut considérer que le comportement de cet individu peut-être considéré de voie de fait c’est à dire de violences sans contact physique direct », rajoute Samuel Finielz. La qualification criminelle de coups mortels a été retenue et un juge d’instruction devait être nommé.