Le PSG, Guyane Écologie et Alter Larivot réunis pour parler des alternatives à la centrale

Les opposants à la centrale du Larivot se réunissent régulièrement et échangent sur le sujet. Après la première victoire judiciaire obtenue en juillet permettant la suspension des travaux, et la seconde rejetant le référé porté par la CTG et la Chambre de commerce et d'industrie (CCI), les opposants restent plus déterminés que jamais. Le collectif Alter Larivot avait pris la parole sur Mo News en septembre pour présenter les alternatives et affirmer qu'il existe bien des solutions de remplacement. François Kuzeni indiquait qu'il existe "un plan B" contrairement à ce qu'affirme le président de la CTG Gabriel Serville ou encore les organisations patronales (Medef, CGPME...) et le monde économique dont la CCIG. Ce samedi, ces mêmes acteurs se sont retrouvés au siège du PSG à Cayenne.

Par : Samir MATHIEU

Publié le : 16 octobre 2021

Les opposants à la centrale du Larivot se réunissent régulièrement et échangent sur le sujet. Après la première victoire judiciaire obtenue en juillet permettant la suspension des travaux, et la seconde rejetant le référé porté par la CTG et la Chambre de commerce et d’industrie (CCI), les opposants restent plus déterminés que jamais. Le collectif Alter Larivot avait pris la parole sur Mo News en septembre pour présenter les alternatives et affirmer qu’il existe bien des solutions de remplacement. François Kuzeni indiquait qu’il existe « un plan B » contrairement à ce qu’affirme le président de la CTG Gabriel Serville ou encore les organisations patronales (Medef, CGPME…) et le monde économique dont la CCIG. Ce samedi, ces mêmes acteurs se sont retrouvés au siège du PSG à Cayenne.

Le site et les alternatives…

Les cadres du Parti socialiste guyanais dont le comité directeur, ceux de Guyane Écologie et les porte-paroles du collectif Alter Larivot ont échangé ensemble sur ce sujet en ce début d’après-midi. Au centre des discussions de ce samedi, les différents acteurs politiques et militants ont évoqué le problème de l’emplacement sur le site actuel proposé, le respect de la loi lié notamment au respect du plan national sur les énergies renouvelables, de l’urgence de se doter d’une nouvelle centrale sur le centre littoral et les alternatives dont celle de plusieurs points de production répartis sur l’ensemble du territoire.